CES 2019 : La face cachée des start-ups

Le CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas se tiendra dans quelques semaines. C'est la grande vitrine mondiale des startups. On y trouvera, au milieu de nombreux gadgets, les inventions qui révolutionnerons le monde de demain. C'est également une très bonne occasion de vanter les mérites de l'entreprenariat, de ces jeunes qui se lancent.

On entends régulièrement parler de ces startups devenues grandes réussites. Mais on parle beaucoup moins des coulisses de cet univers.

De jeunes gens, qui se lancent corps et âmes dans leur projet, scacrifiant leur vie personnelle, travaillant tard le soir. Souvent seuls et inexpérimentés. En face d'eux, des investisseurs chevronnés en quête d'une rentabilité maximale.

Souvent, les investisseurs sont sérieux et l'aventure se passe très bien. Mais parfois, le fondateur se retrouve pris au piège de son projet et de ses investisseurs.

Derrière la vitrine d'un célèbre incubat eur Wallon, dirigé par un grand nom de l'entreprenariat Belge, se cache une réalité caustique :

- Projets artificiels visant à drainer les aides publiques

- Montages fiscaux douteux pour éviter de payer les charges sociales

- Mécanismes visant à augmenter artificiellement la valeur de la société

- Tentatives de spoliation et d'abus de faiblesse

- Contrats largement déséquilibrés, dont certains obligeant le fondateur à travailler sans rémunération

- Clauses de confidentialité omniprésentes, pour éviter que tout cela ne sorte

Fondateurs de startups malheureuses, et ex-employés de l'incubateur, nous vous proposons de plonger dans les coulisses de l'esclavage 2.0, témoignages et documents à l'appui.

Contact média : startup.nightmare.be@gmail.com